J’ai envie d’écrire pour toi, oui, toi !
Tu es, tu n’as pas encore beaucoup été mais tu seras,
Tu seras le seul, le seul à me procurer un toit,
Le toit du monde, rien que ça dans ton aura.
Oui tout ça et moi, non, je ne l’oublie pas,
Non, impossible, quand tu te mets en quatre
Pour plier, pour déployer des efforts pour avancer d’un pas,
Tu luttes pour gagner, et ça gagne de combattre.
Et moi, tu sais, je ferais pareil, oui.
J’espère et pense que, comme moi, tu le sais,
Tout ce que j’ai en moi, mes ressentis les plus enfouis,
En si peu de temps, merci, je renais !
Si peu de choses qui font que j’avance,
Oui, j’avance vite, comme une fourmi, mais à pas de géant.
Merci, même si tu n’acceptes pas cette révérence,
Je te dois beaucoup, Blondin, mon petit Laurent !