jeudi 2 août 2007

Au lendemain du vrai


La rivière coule dans mes veines déchues

Et l’eau use mon cœur uni à la tempête,

Je suis ligoté par le faux amour écru

Qui prolifère dans la crevante moquette

De l’espoir malade dont je suis l’écrivassier

Et de l’amour qui croît en les gros farfadets.

Je suis le gris dandy et malsain échassier

Qui harangue à jamais les laids regrets.


Ses lentes larmes et son ciel étoilé luisent,

Une ligne hantée et une ligue ôtée présentent

Un zéphyr, un vent de mal, une folle brise

Qui cingle, ébranle la montagne mécréante,

Son nom me traverse du bas au haut, ma tête,

Je crie, je hurle à sa parole mal dite

Qui déchira mon sein encor sous la secrète

Clé de la joie mais là, tu l’as très bien détruite.




Je voudrais remercier celle qui est une amie à présent ! Même si ça n'a pas toujours été facile mais finalement, on y arrive ! La vie n'est pas un long fleuve tranquille mais elle n'est pas si mal...


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