La rivière coule dans mes veines déchues
Et l’eau use mon cœur uni à la tempête,
Je suis ligoté par le faux amour écru
Qui prolifère dans la crevante moquette
De l’espoir malade dont je suis l’écrivassier
Et de l’amour qui croît en les gros farfadets.
Je suis le gris dandy et malsain échassier
Qui harangue à jamais les laids regrets.
Ses lentes larmes et son ciel étoilé luisent,
Une ligne hantée et une ligue ôtée présentent
Un zéphyr, un vent de mal, une folle brise
Qui cingle, ébranle la montagne mécréante,
Son nom me traverse du bas au haut, ma tête,
Je crie, je hurle à sa parole mal dite
Qui déchira mon sein encor sous la secrète
Clé de la joie mais là, tu l’as très bien détruite.
Je voudrais remercier celle qui est une amie à présent ! Même si ça n'a pas toujours été facile mais finalement, on y arrive ! La vie n'est pas un long fleuve tranquille mais elle n'est pas si mal...
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