Violente musique au creux de mon oreille,
J’enterre le sublime et remonte mon for
Pour heurter ton égo brimé par mon frais fort.
La force reforme les parois du réveil.
Nouveau monde brillant, luis telle une merveille !
Les larmes ne coulent plus, sans le moindre effort ;
Elles sont séquestrées dans mon fier coffre-fort,
Hier trop enclin à la mièvrerie vermeille.
Mes songes ne crient plus, ils sont paralysés :
Tu les as refroidis, alors non avisés.
Je dois remercier ton ardeur qui m’a vidé.
Mon cœur effiloché se recoud de fil dur
Pour faire grandir un jeune fruit bientôt mûr.
Merci, Violence, à toi qui m’as aidé.
Je voudrais te remercier, tu m'as fait souffrir mais je n'en suis pas mort, ça m'a donc rendu plus fort. Je ne peux que te remercier.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire